Je serai toujours là [Bomer &Héléna ]

J'avais fini mon travail à la maternité de l'hôpital et j'étais en pause , je n'avais pas eu de nouvelle de Bomer , mon ami d'enfance .
Le pauvre , il s'était fait tiré dessus à la fête Halloween , à ce moment j'avais eu la peur de ma vie : celui de le perdre mais heureusement , il n'avait rien eu de grave il s'en est sorti de peu.
Je profita d'être en pause pour aller descendre au service ou était installer Bomer , je vis la chambre n°120, soulagé de trouver la chambre de mon ami , je toqua et dit:
- Hey sava?
J'entrai dans la chambre et observer Bomer , il avait l'air d'aller bien pour un homme qui s'est pris une balle pas loin du coeur.
Je m'assoie et je commence à lui faire la bise tout en lui faisant un câlin sans lui faire mal , j'avais mal pour lui et puis faut dire que Bomer n'aimait pas trop les hôpitaux.
Je lui souris et lui demanda si il allait bien , il me fais signe que oui , ce qui me rassura évidemment.
J'étais venue le voir pour lui parler de mon don , je ne pouvais pas lui mentir éternellement , il devais savoir que j'avais la capacité de lire dans ses pensées.
Les gens pensent que ce don-là est cool mais en vérité c'étais le pire don que je pouvais avoir , ça me faisait pas plaisir d'entendre d'avoir dans ma tête à longueur de journée.
Imaginez-vous le mal de crâne que je pouvais avoir en fin de journée avec l'envie d'aller vite dans mon lit sans profiter de mon mari.

▬ Petits mots : 120

I've been thunderstruck
Bomer & hélena

Je n'étais pas nécessairement le patient idéal, il faut dire qu'avec mon poste de sénateur je n'avais pas l'habitude de demeurer en place bien longtemps alors le fait que je me retrouve dans cette chambre d'hôpital ne pouvait que contribuer à me rendre totalement dingue. Il ne se passait pas un seul instant sans que je ne me fasse réprimander par les infirmières, il faut dire que je ne respectais que très peu les consignes … on me recommandait de me reposer et pourtant dès qu'elles avaient le dos tournés j'ouvrais mon ordinateur portable afin de me mettre au travail … il était vrai que les affaires de l’État ne pouvaient pas attendre mais c'était là une subtilité qui semblait échapper au personnel médical appelé à s'occuper de moi.

Au bout d'un moment, sans doute en raison de la fatigue, je finis par fermer mon ordinateur et c'est alors que j'ouvris les yeux – après les avoir fermés un instant – en entendant une voix plus que familière s'adresser à moi.

Je vais bien ma belle et toi? Ça c'était moi tout craché, j'avais échappé à une mort plus que certaine mais je préférais me préoccuper des autres que de me soucier de mon état … il faut dire que ce n'était pas la première fois que l'on me tirait dessus … donc pour moi ce genre d'incident se voulait plus que banal.

Lui souriant je la détaillai du regard pendant un instant lui faisant ensuite signe de venir s'installer, après tout elle n'allait pas demeurer debout.

electric bird.

Il me dit signe d'avancer, je lui fais la bise et je lui demanda si il se sentais bien mais bon le connaissant il devait surement pas tenir en place.
Puis, les infirmières de l'hôpital je les connaissais c'était des copines à moi , monsieur se faisait grondé alala décidement il changera jamais .
- On peux dire que tu a eu de la chance mon cher Bomer dit-je en lui tirant la joue
Il avait eu de la chance sincèrement , il aurait pu mourir et jaurai pu le perdre pour la deuxième , comme quoi la vie est bien trop précieuse et il faut profiter comme on le peux.
J'étais venu le voir pour lui révéler ce que bomer n'a jamais su , ma vraie nature , ma capacité de lire dans les pensées mais avant de lui parler de ça , je tenais à savoir les problèmes qu'il avait.
- Dit moi, et me mens pas pour me rassurer car je sais tout , tu a quoi comme problème au point qu'on voudrait avoir ta peau.
Je voulais en savoir un peu plus sur ses problème , j"étais trés curieuse de savoir pourquoi ses hommes voulaient sa peau , j'aurai toujours cette angoisse , cette peur que je ressens et puis je tenais beaucoup à Bomer.
J'espere qu'il aurait pas peur de mon don , je ne voudrais pas qu'il me tourne le dos alros que je l'avais retrouvé il y'a pas si longtemps que cela.

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Bomer & hélena

J'étais fortement conscient que j'avais passé à un cheveux d'y rester alors lorsque je l'entendis me rappeler que j'avais été plus que chanceux de survivre à cet incident je ne pus que lui sourire en coin. Bien entendu mon sourire perdit rapidement de son éclat et de son intensité lorsque je l'entendis me questionner sur les soucis que je pouvais bien avoir … l'entendre me demander de ne pas lui mentir finit par avoir sur moi l'effet d'une douche froide. Je ne lui avais jamais menti donc je ne pouvais que me sentir blessé par ce qu'elle venait de me dire mais bon je préférais garder le tout pour moi … ce n'était ni le lieu ni le moment pour que l'on se prenne la tête.

Tu sais pertinemment que je ne t'ai jamais menti. Préférant m'arrêter là je soupirai avant de reprendre. Crois-moi j'aimerais pouvoir t'en parler mais je ne le peux pas, c'est une question de sécurité nationale. T'en parler ne pourrait que te mettre en danger et je m'y refuse. Je préférais éviter d'entrer dans les détails et de tout expliquer, la vérité ne pourrait que choquer la population … pour le moment valait mieux laisser croire que tout allait pour le mieux et puis de toute façon j'aurai toujours un ennemi , quelque part, prêt à me terrasser c'est là le lot des gens au pouvoir.

electric bird.

Je savais que au fond de moi je l'avais blessé , j'avais lu dans ses pensées mais c'étais le bon moment pour lui avouer la vérité.
- Il y'a une chose que tu dois savoir sur moi , Bomer Je suis désolé si tu l'a mal pris je ne voulais pas te blesser. Depuis toute petites, je t'ai caché le fait que je possède un don celui de lire dans tes pensées , je peux tout savoir rien qu'en lisant dans tes pensées croit moi que je me deteste d'avoir ce don mais je dois faire avec.
Je craignais sa réaction , et si jamais il me déteste? Si jamais il voulais couper les ponts avec moi? Je ressentais cette boule dans mon ventre, ce sentiment de peur, peur de perdre Bomer.
Je le regardais et lui chuchoter un désolé .. , oui j'avais menti à Bomer mais c'étais pour notre bien à tout les deux , je voulais pas qu'il me croit comme un monstre.
Pardonne moi Bomer , je ne pouvais pas te dire la vérité on était trop jeune et tu m'aurai prise pour un monstre .. C'étais trop dur de te l'annoncer , j'avais peur même là j'ai peur que tu ne veuille plus me voir. dit-je avec les larmes et le prit dans mes bras en espérant qu'il me rejette pas car j'aurai été malheureuse pour un long moment.

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Bien entendu lorsqu'elle m'annonça qu'elle jouissait d'un don particulier, celui de lire dans les pensées d'autrui, j'étais plus qu'étonné. Qui ne le serait pas après tout? D'une certaine façon j'étais attristé, déçu, qu'elle ne m'en aie pas parlé plus tôt mais je comprenais ce qui pouvait l'avoir poussé à vouloir préserver le secret … il faut dire que ce n'est pas tout le monde qui est ouvert d'esprit à ce sujet. J'étais sans mots, je ne savais pas trop ce que je pouvais ajouter à la discussion et puis c'est alors qu'elle reprit l'initiative de la conversation et lorsqu'elle me demanda de lui pardonner je compris que je me devais de lui dire quelque chose.

Écoute Helena je ne t'en veux pas, je t'adore trop pour t'en vouloir, alors en ce qui me concerne il n'y a rien à pardonner. Je lui souris amicalement. Je ne crois pas que je t'aurais pris pour un monstre, j'ai toujours été ouvert d'esprit, mais je ne crois pas que mon père aurait été aussi cool. Je glissai ma main contre la sienne. Je comprends ce qui t'a fait hésité mais tu sais que jamais je ne pourrais me résoudre à ne plus te voir. Je lui souris de nouveau glissant mon bras autour de sa taille.

electric bird.

Il me prit dans ses bras , il avait accepté ma nature , quelle soulagement ! Je n'aimais pas mentir surtout à Bomer mais il avait bien compris pourquoi j'avais fais ça et le pire c'est que son père est mon parrain et il aurai pas accepté que Bomer me voit.
Si tu savais comment je m'en voulais de ne t'avoir rien dire .. c'est ça que j'essayais de te dire à la soirée avant qu'il ne t'arrive ce qui t'est arriver.
Je n'étais pas fière de mon don , souvent sa m'apporter des ennuis mais que pouvons-nous faire? c'étais ma nature , je ne pouvais pas choisir ce que je veux être.
Dans ses pensées , je contacté qu'il ne voulais pas parler de l'attentat , avez-t-il des choses à me cacher? A mon avis , lui même avait peur et ne comprenais pas ce qui lui été arriver mais peu importe je pouvais à présent l'aider même si je devais mettre ma vie en danger , je refusais de laisser Bomer dans cette situation.
Tu m'avais manqué pendant toute les longues années, le hasard a fait qu'on s'est revu et croit moi que je ne remercierai jamais le bon dieu pour ça.

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Bomer & hélena

Bien entendu je serais un bien mauvais menteur si j'osais avancer que le fait qu'elle m'ait dissimulé la vérité sur son état depuis tant d'années n'avait pas été sans me titiller mais en contrepartie je comprenais les raisons qui l'avaient contrainte à agir de la sorte … je n'avais donc pas le droit de lui en tenir rigueur. Histoire de lui faire comprendre que je ne lui en tenais aucunement rigueur je me laissai aller à passer un de mes bras autour de sa taille faisant ainsi fi de la douleur que je pouvais encore ressentir suite à l'attentat dont j'avais été victime. T'en fait pas ma belle et puis l'important c'est que tu as fini par me le dire. Cesse de te tourmenter.

Bien entendu je préférais ne pas entrer dans les détails suite à ce qui était survenu lors de cette fameuse soirée, il m'était difficile d'expliquer ce qui m'était arrivé. Je n'y comprenais rien alors je ne me voyais pas tenter d'expliquer ce qui pouvait avoir poussé mes agresseurs à agir de la sorte et par dessus tout je me refusais de mettre qui que ce soit de mon entourage dans une situation pouvant potentiellement les mettre en danger. Je suis le plus heureux des hommes d'avoir pu obtenir le privilège de te retrouver ma puce je ne compte donc pas laisser qui que ce soit s'opposer à nos retrouvailles. Je lui souris tout en me mordillant la lèvre et c'est alors que l'on m'apporta mes cachets et un verre d'eau. Souriant à l'infirmière, alors qu'elle quitta aussi rapidement qu'elle était venu, je ne pus que lancer un regard amusé à la belle Helena. Tu vois comment on me martyrise? Bien sur c'était de l'humour.

electric bird.

Une infirmière lui apporta des médicaments et il me dit en rigolant qu'on le martyrise , je ris à sa bêtise et je lui répond:
-Oh oui je vois ça , que tu es maltraité mon pause dit-je en lui tirant les joues , je savais qu'il avait horreur de ça .
- je suis sûr que tu a du draguer une infirmière ? sa ne étonnerai pas , côté coeur ? sa en n'est ou?
je savais que au fond de lui , il ressentait toujours des sentiments pour Shioban , elle était comme ma petite soeur de coeur et j'avais suivis à une époque leur histoire.
- Fais gaff , je peux lire dans tes pensées alors si tu veux pas que je lise dans tes pensées , pense à quelque chose tout bas. Aufaite, c'est bientôt Noel je me demandais si tu voulais venir manger le 25 au soir sa ta dit?

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Je ne pus que faire mine de mordre à l'hameçon en entendant sa plaisanterie après tout j'étais respectueux des convenances, jamais je ne me serais permis de draguer une infirmière aussi séduisante soit elle. Tu sais parfaitement que je ne suis pas ce genre de mec, il y a un lieu et un moment pour toute chose après tout.

J'éclatai de rire lorsqu'elle me mit en garde contre le fait qu'elle savait lire dans les pensées. Tu n'oserais pas? Je jouais faussement la personne offusquée pour ensuite me mettre à rire de bon cœur. Reprenant mon sérieux je ne pus que lui sourire lorsqu'elle me proposa de me joindre à elle et à son homme. Pourquoi pas c'est gentil à toi de m'inviter mais je ne voudrais pas m'imposer. Je la regardai, d'un air sérieux. Ta cousine, celle qui danse nu, elle y sera? Bien sur je déconnais, je voulais simplement la faire réagir … sa cousine n'était pas vraiment mon genre de femme, je préférais de loin la classe à la vulgarité.

electric bird.

- Bien sûr que sa me dérange pas et puis tu sais lenny est en Afrique donc je fête Noel toute seule et comme je voulais qu'on rattrape du bon vieux temps je me suis dit que sa serait bien de fêtais noel tout les deux?
Haha , il me parla de ma cousine , ouais j'ai une cousine assez dévergondé mais vraiment trop dévergonder il m'avait lancer cette phrase par rapport à ma cousine pour me faire réagir.
Je savais que ce n'étais pas son genre de fille et puis heureusement car ce n'étais pas une fille pour lui croyez-moi je l'a connais bien pour savoir.
-Je sais pas si j'oserai lire dans tes pensées mais c'est une astuce , déja pour moi sa me rassurerai et puis pour toi aussi.
En tout cas , j'étais heureuse de savoir que j'allais fêté Noel avec Bomer , on avait tellement de chose à rattraper en plus je savais quoi faire comme repas et tout.
Je le regarda et lui dit:
-Tu m'a toujours pas répondu à ma question mon cher, côté coeur sa en n'est ou ?

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Le fait que Lenny la laisse seule pour la période des fêtes n'était pas sans m'attrister mais je tentais de relativiser les choses, il devait bien avoir ses raisons pour se retrouver à l'autre bout du monde , c'est pourquoi je préférai ne rien ajouter. C'est une bonne idée, une très bonne idée, ainsi je risque moins de m'ennuyer. Il était vrai que je ne risquais pas de me rendre à l'une de ces réunions de famille, j'étais loin d'être désireux de me retrouver nez à nez avec mon père.

Bien entendu je n'étais pas le type de mec qui s'intéressait au genre de fille que pouvait être sa cousine mais je dois tout de même admettre que sa réaction n'avait pas été sans m'amuser. Tu sais tout aussi bien que moi que le fait de lire dans les pensées d'une personne est tout aussi impoli que d'écouter aux portes … par moment le caractère intime de certaines pensées se doit d'être protégé. Je lui souris, histoire de lui faire comprendre qu'il n'y avait aucune arrière pensée sous jacente derrière ces mots que je venais de lui adresser. D'ailleurs je suis persuadé que je ne t'apprends rien.

Innocemment j'avais préféré ne pas répondre à cette question mais mon mutisme ne semblait pas avoir réussi à taire sa curiosité … j'allais donc devoir y répondre. Et bien tu sais le célibat me réussi plutôt bien. Je n'avais pas envie d'entrer dans les détails, de toute façon ma vie sentimentale était un échec retentissent et je préférais tout simplement ne plus y penser.

electric bird.

je savais ce qu'il voulait dire derrière ses mots et je n'étais pas fière d'avoir cette capacité défois sa servait mais je ne l'utiliserai pas pour mes amis après tout c'étais intimité.
-Oui je sais ou tu veux en venir, j'en suis pas très fière de cette capacité.
Je repensais à Lenny et me dire que j'allais passé Noel avec Bomer me redonna le sourire, j'allais pas être seule comme chaque année.
-Je suis heureuse que tu vienne pour Noel, tu sais le départ de Lenny pour une mission humanitaire m'a beaucoup attristé. En plus on s'étais disputé la veille, il me donne aucune nouvelle , même pas une lettre.
Je le regarda et je vis qu'il était l'heure de partir , je me lève lui fait la bise et dit:
-je dois parti Bomer,on se revoit à Noel , si ta besoin n'hésite pas à m'appelé.

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Bien que ma plus récente remarque pouvait laisser présager le contraire je ne lui en voulais pas, après tout je me doutais qu'il devait être difficile de ne pas céder à la folle envie d'assouvir sa curiosité lorsqu'une personne possédait ce genre de don. T'en fais pas c'est deux fois rien. C'était ma façon à moi de lui dire que c'était déjà oublié. Je n'aimais pas la savoir seule lors pour la période des fêtes, je ne pouvais donc qu'accepter sa proposition qui tombait à point nommé. Je suis désolé pour toi, je sais à quel point il compte. Je suis persuadé qu'il regrette et qu'en ce moment il se morfond. Je voulais surtout lui remonter le moral. La regardant se lever je ne pus que lui sourire au contact de ses lèvres venant se plaquer contre ma joue. Je t'appelle dès que je sors d'ici. Au plaisir de te revoir bientôt. Je l'embrassai à mon tour avant de la regarder s'en aller.

- FIN -

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